Publication d’Aurore, évocation plus que nouvelle, sorte de poème en prose, dans le numéro triple (n° 101-103) du journal littéraire Le Persil.

De tout au fond de lui, comme fissurant la croûte des ans, percent ses regrets : « c’est seul’ment mes os » se dit-il, « c’est seul’ment qu’ j’ai p’us les os comme avant ». Parce que, maintenant, il faut ménager tout cela et, aussi, le cœur qui s’emballe. Les enjambées, alors, Eugène les fait courtes, que ça cogne peu, que ça tremble moins.

Pour obtenir un exemplaire, s’adresser directement à Marius Daniel Popescu, fondateur de la revue.

Le Persil n° 101-103