Valérie Debieux signe une belle chronique de Saison des ruines sur son blog La Galerie littéraire. Cliquez ici pour la lire dans son intégralité.
Bertrand Schmid dépeint une fresque à la Turner où le sombre a remplacé la lumière. Le lecteur est d’emblée happé par la force narrative du récit qui le fait passer par des sentiers escarpés de montagne aux rues sales et couvertes de suie des bas-fonds de Londres. Une belle réussite pour ce premier roman noir.
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